La percée pourrait faire une énorme différence pour les millions de personnes dans le monde qui, comme l’auteur Stephen King et actrice Dame Judi Dench, souffrent de maladies cécitantes comme la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA), qui touche 20% des personnes âgées de plus 75.
Le nombre de personnes atteintes de DMLA et de troubles similaires est en forte augmentation, tout comme la demande pour les injections oculaires des médicaments qui arrêtent les progrès de la maladie.
En 2010, plus de 1 million d’injections oculaires ont été réalisées aux États-Unis. Au Royaume-Uni, les estimations montrent qu’environ 30 500 ont été donnés en 2008, ce qui représente une augmentation de 150 fois à 10 ans auparavant.
Ne pas avoir des injections oculaires serait un grand soulagement pour les patients
Les chercheurs disent que les maladies causant la cécité, telles que la dégénérescence maculaire liée à l’âge, pourrait bientôt être traité avec des gouttes ophtalmiques plutôt que des injections oculaires.
L’auteur principal Francesca Cordeiro, professeur à l’Institut d’ophtalmologie de l’University College London (UCL), dit qu’il est « impossible d’exagérer les patients de secours se sentirait de ne pas avoir à subir des injections dans les yeux. »
Elle explique que le traitement actuel de l’injection des médicaments dans l’œil est très mal à l’aise, et les patients détestent. Ils doivent souvent aller à l’hôpital pour recevoir les injections tous les mois pendant 2 ans.
« Le développement de gouttes pour les yeux qui peuvent être sans danger et efficacement chez les patients serait une solution miracle », ajoute, en disant que ce serait « une énorme percée dans le traitement de la DMLA et d’autres troubles oculaires invalidantes. »
Les chercheurs ont montré des nanoparticules peuvent fournir des médicaments à travers la cornée à la rétine
L’étude est une percée, car il a été extrêmement difficile de trouver un moyen de fournir des médicaments à la rétine. Avant cette étude, on a pensé que les molécules de médicaments comme Avastin et Lucentis, utilisés pour traiter la DMLA, étaient trop gros pour être transportés jusqu’à la rétine en gouttes pour les yeux.
Mais dans leur étude, l’équipe a montré comment ils pourraient obtenir des nanoparticules chargées de l’Avastin pour fournir des concentrations importantes à l’arrière des yeux des rats et des lapins.
L’étude montre que l’Avastin peut être transporté à travers les cellules de la cornée à l’arrière de l’œil, où il arrête les vaisseaux sanguins de fuir et la formation de nouveaux vaisseaux sanguins, la base de la DMLA humide.
En théorie, les chercheurs disent, vous pouvez adapter la technologie à utiliser avec d’autres médicaments tels que Lucentis, couramment utilisés au Royaume-Uni pour traiter la DMLA. Lucentis est une molécule plus petite que l’Avastin.
La société de transfert technologique de l’UCL, l’UCL affaires, a breveté la technique de collyre. L’équipe est maintenant à la recherche de partenaires commerciaux pour accélérer la voie à suivre.
Premier auteur Dr. Ben Davis, également de l’Institut d’ophtalmologie de l’UCL, dit:
« Tous les composants que nous avons utilisés en toute sécurité et bien établie dans le domaine, ce qui signifie que nous pourrions potentiellement se déplacer assez rapidement pour obtenir la technologie des essais chez les patients – mais les échelles de temps dépendent du financement. »
Pendant ce temps, Nouvelles médicales Aujourd’hui a récemment rapporté comment la thérapie génique peut améliorer une forme de cécité incurable. Dans cette étude, une autre équipe de scientifiques britanniques a réussi à rétablir une certaine vue chez les personnes atteintes d’une maladie dégénérative de l’œil appelé choroideremia, par le remplacement d’un gène défectueux dans leurs rétines avec une version de travail du même gène.