Résumé, finie la cuisine en mode coup de poker
- 200 ml équivalent à 20 cl, voilà la conversion qui sauve un gâteau, un risotto ou même la dignité d’un verre à moutarde oublié.
- Diviser par dix, tel un mantra culinaire, c’est faire danser millilitres et centilitres sans rater le coche (et sans finir avec une soupe façon ciment).
- Oublier le tableau des conversions, c’est comme perdre la recette sur le frigo, mais ici, l’astuce : c’est le geste qui change tout.
Imagine, le tablier jeté sur l’épaule, la cuisine s’agite entre deux éclats de farine et une recette à la main, surgit toujours cette question à la fois si bête et si vicieuse, qu’on préfère l’ignorer, mais non, la voilà, elle ne lâche jamais : 200 ml… franchement, c’est combien de cl ? Autour du plan de travail, ce mystère fédère, défi mesquin des recettes de grand-mère et des sites branchés. L’un jure par les millilitres, l’autre ne jure que par les centilitres, et le cuisinier du soir se débrouille, entre conversions et doutes, persuadé qu’à la prochaine erreur il finira avec une soupe bien trop liquide ou un gâteau façon brique du dimanche soir.
Le souci, ce n’est pas la recette. Ce n’est jamais la recette. C’est ce petit caillou dans la chaussure, cette unité maline qui joue à cache-cache – entre les verres à moutarde, les cuillères à soupe et la mémoire qui flanche. Parfois, au cœur de ce tourbillon, la solution tombe, limpide, à condition de l’avoir lue quelque part ou… griffonnée sur le frigo, à côté du magnet null plus magnétique que les autres.
La conversion qui sauve les plats (et la patience)
Oublier le verre doseur ? Rien de grave. Ce qu’il faut vraiment, c’est une règle, une bascule instantanée, la petite étincelle mathématique : 200 ml, des cl, aïe… Facile, il suffit de diviser par dix.
200 ml, hop, 20 cl tout rond, ni plus ni moins — ça aurait mérité d’être gravé sur le manche des fouets.
Ce chiffre, retenez-le comme le refrain entêtant des dimanches pluvieux : 200 ml, ça fait 20 cl, infaillible face aux batailles du quotidien. Plus besoin d’hésiter — le vin blanc dans le risotto, l’eau pour la pâte à crêpes, tout devient plus net.
Le tableau magique à dégainer dès que ça coince
Rien ne vaut un tableau posé là, comme une bouée de sauvetage entre deux recettes. Pas besoin d’aimer les colonnes, promis, mais celui-ci, c’est la vie.
| Millilitres (ml) | Centilitres (cl) |
|---|---|
| 50 ml | 5 cl |
| 100 ml | 10 cl |
| 150 ml | 15 cl |
| 200 ml | 20 cl |
| 250 ml | 25 cl |
| 500 ml | 50 cl |
Imaginer le soulagement : un coup d’œil à ce repère, et la cuisine retrouve calme et aisance. Certains recouvrent le tableau de plastique, histoire de prolonger sa vie. On dit aussi que sur certains frigos, il a détrôné les consignes du micro-ondes et les dessins d’enfants.
La méthode qui ne trompe jamais (et qui amuse les enfants… ou pas !)
Diviser par dix, toujours. Pour tous les volumes. Une bassine de 500 ml ? Ok, 50 cl. Un bol de 150 ml ? Facile, 15 cl. Ce petit geste devient automatique, comme de vérifier si le four est bien allumé ou de goûter à la pâte. Les enfants, eux, veulent le faire encore et encore, calculateurs dans une main, spatules dans l’autre — apprendre les conversions, c’est déjà cuisiner.
Le verre qui fait tout, la cuillère qui dépanne
Et puis parfois, taper dans la réserve d’ustensiles suffit amplement. Balancer les balances, remettre à l’honneur les verres à moutarde, confiants et costauds, réhabiliter la cuillère à soupe familiale et le petit verre à liqueur rescapé des dernières fêtes.
Pour les pressés ou les têtes-en-l’air, ce tableau sauve la mise :
| Ustensile | Capacité (cl) | Volume (ml) |
|---|---|---|
| Verre à moutarde | 20 | 200 |
| Cuillère à soupe | 1,5 | 15 |
| Petit verre à liqueur | 4 | 40 |
La génération précédente n’avait pas besoin d’applis ou de robots. Entre deux rires, la grand-mère transvasait sa crème avec l’élégance d’un chef étoilé, le tout avec une cuillère à soupe. La simplicité, comme un vieux pull confortable.
Les astuces qui restent ancrées et puis s’envolent parfois
Pourquoi certaines conversions reviennent d’elles-mêmes, alors que d’autres semblent avoir pris la poudre d’escampette dès la moindre fatigue ? Mystère. Peut-être à cause des neurones en mode null un soir de semaine. La bonne nouvelle : la formule magique tient en une phrase, il suffit de retirer un zéro, jamais l’ajouter. Même logique que pour un secret de famille, ce genre de truc s’apprend, se transmet, et parfois se défend jalousement.
Le petit guide des unités qui embrouillent
Parfois, en cuisine, il y a un moment de solitude. Décilitre, litre, centilitre, millilitre, pourquoi ces noms, qui a inventé ce bazar ? Mais une fois le cap passé, on retient quelques règles cardinales sur un coin de nappe :
- 10 cl valent 1 dl, rien de farfelu
- 1 litre, c’est tout simplement 100 cl
- Millilitre et centilitre jouent avec la table de 10, tout le temps
- Après quelques ratés, le cerveau enregistre, le succès appelle la confiance
Oublier une conversion, ça arrive. Peut-on se tromper gravement ? Oui, mais il suffit d’un ou deux plats ratés pour que la leçon s’imprime, façon enfance ou série télé emblématique.
Les questions qui piquent et les réponses qui rassurent
Pourquoi 200 ml, c’est 20 cl ? Division par dix, élémentaire. Peut-on utiliser un verre “ordinaire” pour les 20 cl ? Oui, si le verre en question est celui à moutarde et non une tasse d’enfant. Pour convertir dans l’autre sens ? Multipliez par dix, tout revient. Objets de secours en cuisine ? Verre, cuillère ou tasse : tout finit par mesurer, pourvu qu’on sache à quoi on a affaire.

La conversion, ce geste qui va tout changer ou presque
Rincer l’ustensile, surveiller l’eau, doser, corriger à vue. Certes, le verre doseur assoit sa suprématie quand la précision devient question de vie ou de mort (au moins pour la crème anglaise). Mais, franchement, il n’y a que peu d’occasions où un petit tableau accroché ne suffira pas.
Une conversion maîtrisée, c’est la promesse que la soupe ne sera ni transparente ni épaisse comme du plâtre, que la panna cotta ne ressemblera pas à un yaourt trop pressé, et que la mousse au chocolat sera mousseuse, enfin ! S’installer dans cette routine, c’est admettre l’extraordinaire dans le banal, et redonner à la cuisine un goût d’enfance — celui où tout semble se résoudre par une simple addition, ou parfois, une division par dix.
